Voyage organisé en Égypte partie 1
Il y a quelques semaines, je suis partie réaliser un nouveau rêve de gamine. Je suis partie en voyage organisé en Égypte, pays que je rêvais de voir depuis le programme sur l’Égypte ancienne étudié au collège (et ça date pas d’hier!). Si j’ai bien réalisé un rêve, ce fût pour moi compliqué de partir en voyage organisé. Ce qui me rassure, c’est que je n’étais pas la seule. Aller, vous venez? Je vous emmène au pays des pharaons, et ça va être grandiose…
Deux jours au Caire, pyramides et découvertes
Après une longue journée de trajet, attente comprise, nous arrivons sur la ville du Caire. Ma première impression vue du ciel sur cette ville : elle est tentaculaire! Impossible d’en voir les contours depuis le hublot.
A l’arrivée, nous sommes pris en charge par un représentant de l’agence de voyage du tour opérateur. Dans un bon français, il nous remet notre visa (contre monnaie) et nous passons la sécurité qui met mon premier tampon du continent africain sur mon passeport. Nous récupérons nos bagages, et enfin (ou plutôt : enfin presque) nous montons dans le bus qui nous mène à notre hôtel.
Le Caire, c’est une immense ville au milieu du désert. Il y a des lumières partout. Des grandes routes de 3 voix la traverse, et il faut un bon moment pour arriver à destination. Ce qui nous permet d’admirer la citadelle et la mosquée, que je voulais visiter mais qui ne sera finalement pas proposé en option.
On voit aussi des immeubles délabrés, d’autres carrément coupés, et qui pourtant sont quand même habités. Mais difficile de nuit de vraiment se rendre compte de la réalité.
A l’arrivée à l’hôtel, nous passons « la sécurité ». Les valises sont passées dans le scanner, et nous entrons dans un détecteur de métal. Tout le monde sonne, mais personne de la sécurité ne bronche. Ça me fait doucement sourire. Ça change des gars qui se prennent trop au sérieux de chez nous!
Distribution des clés faite, je monte directement dans ma chambre me coucher, et calmer mes nerfs mis à rude épreuve à peine arrivée.
Jour 1 : Musée et Le Caire Copte
Le Musée
Pour ce premier jour égyptien, nous voilà revenu dans le bus direction le centre, pour la visite du Musée Égyptien. Il y a déjà beaucoup de monde à l’ouverture. Nous devons attendre notre tour pour avoir les explications du guide.
Je savais, après ma visite du musée de Turin déjà insuffisante alors que j’y étais restée 5 heures, que je serais frustrée de ne rester que quelques heures dans celui du Caire. Mais le musée Égyptien n’est plus le seul grand musée concernant l’Égypte ancienne. Alors ce fut double frustration. Mais je m’étais préparée psychologiquement.
Enfin bref, nous déambulons entre les statues, les sarcophages, les reliques trouvées dans les différents tombaux, que ce soit des pharaons, des reines ou bien des notables. On y apprend notamment qu’Auguste Mariette, grand égyptologue qui est enterré dans le jardin du musée et y a une immense statue à son effigie, est à l’origine du musée, et qui a mis fin aux pillages réguliers des tombaux millénaires.
Impossible de tout retenir, à part que qu’il y a trop peu de temps pour voir le trop peu exposé. La plus grande partie des collections est encore dans les sous-sols (à moins que ce ne soit maintenant exposé dans le nouveau musée). On en prend quand même plein les yeux, notamment avec le célèbre, le fameux, le magnifique masque funéraire de Toutankharton Toutankhamon (mais les photos sont interdites dans sa salle. Sorry).
Le Souk
De là nous nous dirigeons vers le Souk de Khan-al-Khalili, le plus grand souk du Caire, et parait-il, le deuxième plus grand souk du monde après celui d’Istanbul. Il y a plusieurs ruelles à arpenter pour en profiter, des dizaines, et des dizaines de boutiques plus attrayantes les unes que les autres. Ici, le marchandage est obligatoire. Mais le racolage des vendeurs m’est insupportable. Je n’ai donc fait que quelques mètres dans le souk pour revenir à notre point de rendez-vous pour le retour. Et c’est bien dommages, car j’aurais bien fait quelques emplettes. J’en profite pour faire quelques photos des mosquées environnantes : la mosquée Sayyidna Al-Hussein et la mosquée Al-Azhar un peu plus loin. L’architecture donne envie de rentrer s’émerveiller de l’intérieur qui a l’air splendide. Malheureusement, on ne peut pas visiter, et surtout, ON N’A PAS LE TEMPS!
Le Caire Copte
Après un repas pour touristes sur un bateau amarré au bord du Nil, nous prenons la direction du quartier Copte du Caire.
Mais qu’est-ce que le Copte en fait? Et bien figurez-vous que, à mon grand étonnement, il y a en Égypte 20% de la population qui est chrétienne. Et oui! 20% c’est énorme! Le terme « Copte » désigne simplement les chrétiens orthodoxes d’Égypte. Les chrétiens ont toujours été présents en Égypte, qui est même le berceau de la Génèse. Persécutés pendant des siècles, par les Romains notamment, les Coptes ont néanmoins toujours été présents dans le pays. Devant se cacher pendant des décennies, il fût de tradition, pour se reconnaitre, de tatouer une petite croix au creux du poignet. Cette tradition perdure toujours.
Nous déambulons dans des rues étroites, vestiges des premières bases de la ville. Le quartier Copte est l’un des plus anciens.
Notre premier arrêt est pour l’Église Al-Moalaqa dite l’église suspendue. Suspendue car elle fût construite par dessus une forteresse romaine au 4ème siècle.
Il est difficile de prendre des photos, il faut suivre le groupe et encore une fois nous ne sommes pas tout seul. Même si cette visite est en option (payante), elle intéresse beaucoup de monde.
L’intérieur est splendide. La petite cours qui l’y mène aussi. Un escalier nous attends pour monter dans cette église particulière. C’est une église au style oriental, c’est particulier, mais magnifique. Voir des icônes avec une légende en arabe, c’est singulier. Le mélange des cultures prend ici tout son sens.
Après quelques explications sur la situation des chrétiens en Égypte, nous rebroussons chemin pour aller à notre deuxième destination : l’Église Saint Serge. Elle a été bâtie à l’emplacement supposée d’une halte de la Sainte famille fuyant les persécutions. Au sous-sol, il y a d’ailleurs un puits où l’eau présente serait encore celle sauvegardée pour la famille (elle aurait donc près de 2000 ans… bonjour les bactéries!). Là aussi, c’est une splendeur. Le mélange de brique et de bois amène un sentiment de paix. La sobriété des lieux est quelque chose qui me plait beaucoup également.
Un dernier arrêt à la Synagogue Ben Ezra, la plus ancienne du pays (où les photos sont interdites), et nous voilà rentrés à l’hôtel. Une première journée intense pour se mettre dans le bain du pays.
Deuxième jour : Les pyramides, enfin!
Pour le deuxième jour de ce voyage organisé en Égypte, on entre enfin dans le vif du sujet. Je me souviens des cours d’histoire sur l’Égypte ancienne quand j’étais au collège. Je me souviens des descriptions des Pyramides, les tombeaux qu’elles protégeaient, les pharaons, les Dieux, leur mythologie. Bref, après le Machu Picchu, ce sont les pyramides du plateau de Gizeh qui étaient sur la ma liste des « trucs à voir dans la vie ». Objectif atteint!
Le plateau de Gizeh
Notre guide a eu la bonne idée de nous faire lever très tôt. Ça pique, mais ça en valait la peine. Nous arrivons sur le plateau de Gizeh avant tout le monde. Et ce n’est pas peu dire.
Il doit y a voir une dizaine d’autres personnes sur le site, en dehors des gardes, du personnel du site et des promeneurs de chameaux. Nous avons le plateau quasi pour nous tout seuls pendant une bonne demi-heure. Et je ne suis pas déçue. C’est tout simplement majestueux!
Trois grandes pyramides s’offrent aux visiteurs, celle du père, du fils, et du petit-fils. La plus grande, celle du père, est la pyramide de Keops.
Celle du fils, au milieu, c’est celle de Khephren, reconnaissable avec son « capuchon » lisse à la pointe. A l’origine, toutes les pyramides étaient comme ça, lisses. Mais le temps aura eu raison de ces revêtements, et ces merveilles du monde (la pyramide de Keops est la première sur la liste des 7 merveilles du monde, la seule encore debout) nous apparaissent aujourd’hui à moitié nues.
Il y avait une sorte de brume qui donnait une ambiance bizarre
Au fond, on trouve la pyramide de Mykérinos, le petit fils. Vieilles de plusieurs millénaires, elles se composent de plusieurs milliers de blocs taillés, de plusieurs tonnes chacun. Autant dire une prouesse pour l’époque. Ça me rappelle les constructions des Quechuas au Pérou : d’une précision insensée pour l’époque, on se demande si notre façon de construire aujourd’hui n’est finalement pas un signe de déclin plutôt que de progrès.
Ce dont on ne nous parle pas, ce sont des petites pyramides installées à côté des grandes. Il s’agit des pyramides des reines de ces messieurs.
Ce fût un grand moment pour moi. Nous avons eu assez de temps libre pour en profiter, faire le tour des deux plus grande pyramides. Elles se visitent, il est possible d’entrer dans les tombeaux. Mais ceci n’était pas inclus dans notre visite, ni dans le programme journalier.
Au moment de remonter dans le bus, je me rend compte de ce à quoi nous avons échappé : plusieurs mini bus, quelques taxis et une dizaine de grands autocars sont arrivés sur le site, déversant leur flot de touristes qui n’arriverons pas, contrairement à nous, à avoir des photos de ses joyaux sans personne dessus.
Le Sphinx
Il est impossible de ne pas savoir ce qu’est le Sphinx. Tout le monde l’a vu, ne serait-ce que dans les manuels scolaires. Cette tête d’homme posée sur un corps de lion. Couché au pied des pyramides, il est situé dans un temple. Car oui, il y avait des temples autour des pyramides, et le Sphinx en était le gardien.
Son nez manquant, n’est pas dû à Asterix ni Obelix, mais à un coup de canon des Mamelouks (soldats d’une milice formée d’esclaves affranchis non musulmans, au service de rois musulmans. On en apprend tous les jours, c’est merveilleux! Merci Gogol). Le Sphinx a été restauré car il a beaucoup moins bien supporté le temps qui passe.
Du haut de ses 20 mètres, il offre un fresque fascinante du talent des sculpteurs de l’époque. Bref, avec les pyramides derrière, c’est un très beau spectacle.
Nous quittons ces merveilles pour nous diriger vers un autre site tout aussi populaire : le plateau de Saqqarah. Nous avons du mal à partir, car il y a littéralement des milliers de personnes qui attendent pour entrer sur le site des pyramides. Le réveil très matinal pour être les premiers est finalement pas si mal…
Le musée du Papyrus
Avant d’aller à Saqqarah, nous faisons une halte au musée du Papyrus du Caire. Nous sommes d’accord, c’est un piège à touristes. Du moins ça y ressemble fortement. Et pourtant.
Nous sommes accueils autour d’une table, où une jeune femme nous fait une démonstration de création de Papyrus. Et franchement, c’était très intéressant. Après, bien évidemment, elle nous a expliqué comment fonctionnent les prix des toiles en Papyrus affichés aux murs, les certificats d’authenticité, et les promotions en cours. Je me disais bien…
Toujours est-il que je me suis laissée convaincre, et j’ai acquis une toile, personnalisée de surcroit, avec mon nom écrit en français, et en hiéroglyphes. J’ai lu tellement de fois qu’acheter des soit-disant papyrus dans des boutiques lambda ou à des vendeurs de rues serait probablement une arnaque (on peu faire presque la même texture avec des feuilles de palmiers, ou de bananiers, mais le maillage n’a rien à voir), que j’ai préféré me faire arnaquer dans cette boutique « d’État » qu’ailleurs.
Saqqarah
Le nom vous dit forcément quelque chose. C’est la plus grande nécropole de l’Égypte ancienne, couvrant plus de 40 siècles d’histoire. C’est là que l’on trouve les pyramides à étages, ancêtres des pyramides lisses de Gizeh. On y fait encore aujourd’hui des découvertes (cf cet article).
Les petits chefs
Nous avons pu, une fois sur site, visiter le tombeau de Ptahhotep II, chef de la justice et vizir vers 2300 avant J.C.. Le tombeau a été restauré, on pourrait croire que les couleurs présentes ont été refaites. Pourtant il n’en ai rien. Il semblerait également que les gravures de hiéroglyphes ont été faites hier, elles ont pourtant bien plus de 4000 ans.
Cette état de conservation est due probablement à l’enfouissement sous le sable pendant des millénaires de ce tombeau et de sa mise au contact des éléments très récente. Et c’est la même histoire pour tous les tombeaux et temples. Les motifs sont nombreux et détaillés, et mes photos floues… la luminosité n’est pas des meilleures dans un tombeau, et les flashs sont bien évidemment interdits. Bref, j’en profite avec les yeux, c’est le principal!
Le roi Djéser
Le complexe funéraire du roi Djéser se compose de plusieurs bâtiments, notamment une grande allée pour aller jusqu’à une grande cours donnant sur la pyramide à degrés.
Nous avons pu avoir un peu de temps pour faire le tour de la pyramide, à défaut d’avoir le temps d’y entrer.
Nous reprenons la route pour aller manger dans un restaurant « typique » (pour les touristes). J’avoue, même si le folklore à la décente du bus sent le « je chante mais tu raques » et le « je te montre comment je fais le pain mais tu raques », c’est l’un des meilleurs repas que j’ai eu lors de ce voyage. Brasérade, pain typique et crème non identifiée (mais succulente), le tout accompagné de falafel et autre sauce à saucer, je me suis simplement régalée.
Si quelqu’un peut me dire ce qu’est cette crème en haut à gauche, je suis preneuse.
Le plateau de Dahchour
Pour ceux qui ont pris la visite en option, nous prenons la direction maintenant du Sud, pour voir les pyramides de Dahchour.
A quelques kilomètres seulement de Saqqarah, Dahchour offre la vue sur plusieurs pyramides peu visitées. C’est vrai après tout, qui a entendu parler de Dahchour? Pas moi en tous cas. Du coup, c’est plutôt chouette, on n’est pas gênés par le tourisme de masse.
Ces pyramides se situent historiquement dans la période entre Saqqarah, et Gizeh.
La pyramide rouge
Notre premier arrêt est pour la pyramide Rouge, construite pour Snéfrou, père de Khéops. De calcaire rose, elle devient rouge à la tombée du jour. Parait-il. Et ho surprise! Nous pouvons descendre dans le tombeau de celle-ci! Alors la visite se mérite, il faut d’abord monter jusqu’à l’entrée, puis descendre jusqu’aux chambres funéraires. Le tunnel est pas bien large, et surtout pas haut. Il faut se pencher à 45°. Le guide nous conseille d’ailleurs de descendre en marche arrière, pour éviter de nous faire mal au dos. Spoiler : ma hernie n’a quand même pas aimé.
La descente est oppressante. Claustrophobes s’abstenir. Plus on descend, plus il fait chaud. Plus l’air est moribond. L’anti-chambre comme je l’appelle, ainsi que la chambre funéraire où aucun sarcophage n’a été trouvés, ne sont pas très grand. Ça va que ne nous ne sommes pas nombreux, parce qu’on a vite envie de respirer de l’air frais. Je remonte péniblement jusqu’à la surface, pour admirer la vue depuis la hauteur d’une pyramide. Dis comme ça, je trouve que c’est class! Et si on regarde bien, on arrive même à voir les pyramides de Gizeh!
La pyramide rhomboïdale.
Cette pyramide a conservé sa couche de calcaire faisant de ses façades lisses. Et quand on y regarde de près, la précision de la taille des blocs et impressionnante.
Nous ne rentrons pas dans celle-ci, nous pouvons tout juste en faire le tour. De quoi se poser milles questions sur les techniques architecturales et de maçonnerie de l’époque.
C’est sur cette visite que se termine notre séjour sur le Caire. Le lendemain nous prendrons l’avion pour aller jusqu’à Louxor. Autre nom mythique de l’Égypte ancienne, pour commencer notre croisière sur un Nil un peu moins pollué.
Mais vu la longueur de ce premier article, ce sera pour une autre fois.
Je profite de mon trajet en train pour te lire. C’est super que tu aies pu profiter des Pyramides sans la foule. C’est vrai qu’en voyage, se lever tôt c’est la clé ! Dommage que je ne sois pas matinale ! Je ne connaissais pas non plus Dahchour, c’est cool d’aller aussi dans des lieux moins touristiques. J’attends la suite de ton périple avec impatience.
Je ne le suis pas matinale non plus, mais tu le deviens vite quand tu vois le monde!
En te lisant j’ai l’impression qu’il y a eu beaucoup de frustration mais aussi beaucoup trop d’attrape touristes. Tu penses que c’est l’effet groupe organisé (être en groupe à un endroit où l’agence emmène tout le temps ces clients) ou que ce serait ainsi partout ?
En tout cas c’est agréable de voyager par procuration. Merci
Merci.
Les attrapes touristes c’est partout. Il est rare que des touristes se baladent tout seul en fait. Mais ce qui est le plus épuisant, ce sont les vendeurs à la sauvette, cette quête permanente aussi bien des adultes que des enfants. Dans les souks, tu peux pas poser les yeux sur un article sans te faire alpaguer par les vendeurs, c’est super lourd. Je déteste déjà quand une vendeuse me saute dessus en entrant dans un magasin en France, là c’était juste l’enfer. Il y a plein de boutiques où j’aurais aimé aller faire un tour, mais impossible. Je devais déjà prendre sur moi pour me dire qu’il fallait négocier les prix, là c’était au dessus de mes forces. Donc oui, j’ai beaucoup été frustrée. Et je pense que ces méthodes les lèsent plus que ça ne leur apporte d’achats. Parce que je suis loin d’être la seule touriste à ne pas avoir fait d’achat dans les souks à cause de leur méthode. Alors qu’on avait tous repéré des trucs qu’on aurait bien voulu acheter.
Lors de mon séjour au Togo, je n’ai absolument rien acheté à cause du marchandage justement. Enfin si un truc que je me suis sentie forcément d’acheter juste pour avoir regardé un stand et ensuite j’ai fui. J’étais très frustrée alors que j’aime bien acheter pour moi ou les autres quelques souvenirs. Je te comprends donc à 300%.
Par contre tu dis qu’il est rare que des touristes soient seuls. Y-a-t-il surtout des groupes ? Ou alors ils font appel à des guides privés ?
J’ai vu énormément de groupes mais il y a aussi des familles avec guide privé.Du moins je pense, j’ai pas vraiment demandé. Mais bon, j’ai pas trop vu de personne seule. Après j’ai pas cherché non plus.
J’ai hâte de lire la suite… Je crois qu’aller en Égypte serait un rêve d’enfant pour moi aussi, voir les pyramides, ça doit être quelque chose en effet ! C’est vrai que c’est fascinant de voir cette prouesse technique et que ça questionne nos propres techniques de construction !!
Tout comme toi, j’aurais détesté me faire alpaguer constamment dans les souks et les boutiques (ça me rappelle Djerba…).
Malgré tout j’y retournerais bien pour faire le reste! Je te souhaite d’y aller un jour!