Recommandations de voyage après un AVC : approfondissement du sujet.

Recommandations de voyage après un AVC : approfondissement du sujet

Mon premier article sur le voyage après un AVC ayant eu un certain succès récemment (tout est relatif mais pour mon blog, il est populaire), j’ai pensé qu’un article plus complet pourrait également vous intéresser. Voici le fruit de mes recherches (et expérience personnelle).

Qu’est-ce qu’un AVC ?

Accident Vasculaire Cérébral. Voilà ce qui se cache derrière ces trois lettres. Mais ça, vous le saviez probablement déjà.

Sur le site spécialisé « AVC Vite le 15« , on décrit l’AVC parfaitement bien :

« L’Accident Vasculaire Cérébral (AVC) consiste en une perte soudaine et rapide d’une ou de plusieurs fonction(s) cérébrale(s), dûe à un problème de circulation du sang au niveau du cerveau. Il peut être provoqué par la présence d’un caillot ou d’une hémorragie ».

Il  y a donc deux sortes d’AVC : l’AVC ischémique, où l’un des vaisseaux sanguins se bouche avec un caillot notamment et empêche ainsi la bonne circulation du sang et de l’oxygène dans le cerveau, et l’AVC hémorragique, où l’un des vaisseaux se rompt et cause ainsi un saignement dans le cerveau.

Personnellement,  j’ai eu la « joie » de tester la première version, l’AVC ischémique.

Reconnaître les signes

Vous avez probablement déjà vu des affiches présentant les signes avant-coureurs d’un AVC. Quand j’ai fait le miens, y en avait une sur le mur de la salle où je me trouvais. Et les pompiers étaient de l’autre côté de la route. Ironie du sort…

Mais repassons les en vue :

  • Trouble de la parole : dans les descriptions que j’en ai entendu, les gens inversent les mots, ils en utilisent un pour un autre, ou bien ils n’arrivent plus à parler, à articuler.
  • Inertie d’un membre : ou d’un côté en entier. On n’a plus de force, voire on n’est paralysée d’un membre.
  • Paralysie du visage : la bouche part en biais, d’où le trouble de la parole.

Pour ma part, voici ce que j’ai ressenti : une forte douleur à l’arrière de la tête. Une envie de tomber dans les pommes mais comme je suis une dure à cuire, je n’ai pas perdu connaissance. Et je n’ai pas eu de paralysie du visage. Par contre quand je levais les yeux, j’avais comme une barre noire qui me coupait la vue  en hauteur. Et je n’ai pas eu de paralysie du côté, mais une hémiparésie, une sensation d’engourdissement de tout mon côté gauche, sauf du visage (bah oui, pourquoi faire les choses en entier quand on peut les faire qu’à moitié). Mon AVC était bâtard, c’est probablement pour ça qu’il a mal été diagnostiqué lors des premières consultations.

Pour être sûr de savoir si vous êtes en face de quelqu’un qui fait un AVC, faites lui faire ces 3 tests (que j’ai fait avec un médecin généraliste, sans succès) :

  • faites sourire la personne,
  • faites lui lever les bras et tenir sur la jambe qui serait « handicapée »
  • Faites la parler

Si l’une de ces demandes ne peut être accomplie, une seule chose à faire : APPELER LE 15 !

Je ne sais pas si c’est ma présence d’esprit de m’allonger les jambes contre le mur qui m’a évité d’avoir de grosses séquelles. Sachez tout de même qu’un AVC doit normalement être traité dans les 6 heures, le miens a été pris en charge 3 jours après.

Les séquelles

Selon la Fondation de Recherche sur les AVC, il y aurait environ 140 000 AVC en France par an (parce qu’il serait apparemment possible de faire de petits AVC sans s’en rendre compte). Et toujours selon cette fondation, 60% des personnes ayant un AVC auront des séquelles plus ou moins importantes suite à ça. Ça peut aller de simples troubles de la mémoires, à un handicap physique avéré (impossibilité de se déplacer seul).

Ce sont ces handicaps qui vont déterminer la capacité à voyager, et notamment les démarches à faire avant tout déplacement, surtout en avion (mais oui, il est tout à fait possible de prendre l’avion après un AVC).

Pour ma part, oui, j’ai des problèmes de mémoires, mais je ne suis pas sûre que ce soit uniquement dû à mon AVC (hashtag #bouletforever c’est moi). Mais hormis un engourdissement persistant des orteils, je n’ai pas de séquelles. Je suis une veinarde!

Se préparer au voyage après l’AVC

Le côté technique

Ce qui est bien quand on écrit des articles de blog, c’est qu’on découvre plein de trucs sur le sujet qu’on traite inconnus auparavant et qui pourtant nous concernent.

Par exemple, j’ai découvert sur le site Au Coeur de l’AVC qu’en cas de séquelles (c’est le médecin qui le détermine), il faut passer devant la Préfecture pour refaire valider son permis de conduire.

Pour prendre l’avion, si vous êtes appareillé, il vous faudra avertir la compagnie aérienne et remplir, avec votre médecin, un ou plusieurs imprimés.

Je n’ai jamais eu l’occasion de tester, mais je sais qu’en cas d’utilisation d’un fauteuil roulant électrique, il vous faudra bien faire attention aux batteries qu’il utilise. En effet, certaines compagnies sont très embêtantes quant à certaines batteries. Alors avant de réserver un billet, si vous êtes en fauteuil roulant électrique, assurez-vous que la compagnie choisie accepte bien votre fauteuil. Je vous invite à aller voir le beau blog d’Audrey,  Roulettes et Sac à Dos. Cela vous donnera une meilleure idée de ce qu’est le voyage en fauteuil roulant.

Le côté santé/pratique

Quand je suis partie en tour du monde, j’étais toujours sous traitement. J’ai eu la chance de n’être sous anti-coagulant que pendant 5 ans, mais malheureusement, ce n’est pas le cas pour tout le monde. Alors forcément, ça implique un peu d’organisation.

Pour les traitements : demander une ordonnance à votre médecin, en précisant qu’il faut la délivrer pour la durée de votre voyage. ATTENTION!! Pour qu’une pharmacie vous délivre de grosses quantités, il vous faut un accord de votre Assurance Maladie AU PRÉALABLE. Faites donc suivre cette ordonnance au service médical de votre sécu avec un courrier expliquant votre voyage et le/les pays que vous allez traverser ainsi que la durée. Une lettre d’accord vous sera fournie (ou pas, on peut vous le refuser), lettre qu’il faudra joindre à l’ordonnance et fournir à la pharmacie pour vous faire délivrer les médicaments.

Cette ordonnance, il vous faudra la garder avec vous tout le long du voyage. Et si votre médecin peut vous en fournir une (ou une lettre explicative) en anglais, ce serait le top du top. Mais on est d’accord, si les médecins ont une prédisposition pour les sciences, ils ne sont pas tous bilingues pour autant.

J’avais sur moi également durant tout mon voyage, une clé USB avec le détail de mon dossier médical concernant mon AVC : scan des ordonnances, résultats d’analyses et les images des scanners et IRM (déjà sur CD à la base). Il serait pratique aussi de scanner vos ordonnances et autorisations et de faire comme pour les pièces d’identité, vous les envoyer sur votre boîte mail. Ainsi, partout où vous en aurez besoin, vous pourrez y avoir accès.

EN EUROPE : si vous voyagez en Europe, sachez que normalement, votre ordonnance française est valable pour vous faire délivrer les médicaments. Vous pourrez même en être remboursé, soit en présentant votre carte européenne, soit en présentant les factures et tickets de paiement avec l’ordonnance à votre sécurité sociale une fois rentré en France. S’ils connaissaient le nom de mon médicament en Nouvelle-Zélande, ils doivent probablement le connaître ailleurs dans le monde.

En voyage, partagez votre stock entre votre sac en soute et votre sac en cabine et essayez de prévoir plus de traitement que de temps de voyage (pas évident pour un voyage au long court). Comme ça si votre sac se perd en route, vous aurez toujours de quoi tenir le temps d’aller voir un autre médecin. Demandez-lui si vous pouvez prendre un équivalent au cas où on vous volerait/confisquerait votre traitement lors d’un trajet ou d’un passage de frontière. Comme ça, un petit tour en pharmacie pourra peut être suffire.

En avion, pensez à mettre des bas de contentions. Je sais, ce n’est pas sexy du tout, mais lors de long trajets ça peut vraiment être utile.

Si vous avez une « carte anticoagulant », gardez là toujours sur vous. Je n’en avez pas, je le regrette, mais j’avais des petits bouts de papier dans mon porte monnaie et avec mon passeport avec écrit « j’ai déjà fait un AVC, je suis sous anticoagulant » écrit en français, anglais, espagnol et même chinois.

Et en physiquement pratique

Comme déjà dit dans mon premier article, physiquement je n’avais que quelques recommandations à suivre:

  • ne pas aller au delà des 5000 mètres d’altitude,
  • En dessous de 5000 mètres d’altitude, surveiller les symptômes : maux de têtes, étourdissement etc, si c’est le cas, redescendre immédiatement en basse altitude,
  • Toujours avoir le numéro de secours du pays traversé, afin de pouvoir les appeler en cas de premiers signes de nouvel AVC.

RAPPEL

Je ne suis pas médecin. Je ne peux donc me substituer à une consultation avec votre médecin généraliste ou neurologue. DANS TOUS LES CAS, sachez que si prendre l’avion n’est pas du tout exclu, vous devrez d’abord demander l’autorisation à votre médecin. Chaque cas est unique, il peut donc y avoir des circonstances vous empêchant de monter dans un avion. Mais si vous voulez vraiment voyager sereinement, faites les démarches dans l’ordre, et préparez-vous!

L’aventure n’attend plus que vous!

 

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21 commentaires sur “Recommandations de voyage après un AVC : approfondissement du sujet.

  1. Bonjour! Et merci pour ce post! 🙂
    Je pars pour quelques jours en Allemagne et j’ai -depuis toujours- un peu peur de l’avion. Je l’ai déjà pris, y compris pour des trajets assez longs (Israël, Argentine…) mais ayant eu un AVC il y a un an j’ai tendance à stresser un peu plus!
    Ça me fait plaisir de voir votre site qui parle de vos beaux voyages… et de ce que vous avez fait avec ce petit compagnon qu’est l’AVC!
    Très bons voyages à vous!

    1. Merci beaucoup pour votre commentaire. Ça me touche bcp. Je suis heureuse que mon vécu sur ce sujet particulier puisse servir à quelqu’un .
      J’ai également toujours un peu d’appréhension quand je prends l’avion. Maintenant que je ne suis plus sous traitement j’ai toujours une aspirine sur moi et des bas de contention. Pas très sexy mais ça limite les risques de mauvaises surprises. Et je bois pas mal (de l’eau . Faut juste penser à ne pas avoir de bouteille pleine au passage de la sécurité…)
      Si vous n’avez pas eu de contre indications de la part de votre médecin ça devrait bien se passer.
      Je vous souhaite un excellent voyage en Allemagne (faudra que j’y aille un jour d’ailleurs).

  2. Bonjour merci pour votre article. Je vois demain mon médecin pour savoir si il m’autorise a prendre l’avion et je reconnais que j’ angoisse de sa réponse ainsi que celle de la sécu . Ça me fait du bien de savoir que cela ne vous a pas empêché de partir . En espérant avoir une réponse positive aussi ^^

  3. Bonjour
    Je vous remercie d’avoir partagé votre expérience et elle est tres positive pour les personnes ayant eu un AVC
    Mon beau père a eu un AVC le 14/8 pendant son séjour en France et vient du Cambodge.
    Il est sorti de l’hôpital le 26/8 avec une hémiplégie côté droit et les séquelles sont problemes pour marcher seul et bras sans réaction.
    Il souhaite rentrer au plus tôt dans son pays et j’aimerais savoir si dans son état il est possible qu’il prenne l’avion ?
    On voit une neurologue dans quelques jours pour avoir son avis car le médecin généraliste nous a dit qu’il faut encore attendre
    Merci pour votre aide

    1. Bonjour.
      Je vous conseille de suivre les recommandations du médecin et du neurologue. Je ne suis pas médecin moi même donc je ne peux vous dire si c’est bon ou pas. Eux seuls pourront vous donner le feu vert. Bon courage à vous.

  4. Bonsoir
    Merci pour votre retour. On a consulté la neurologue qui nous confirmer ce n’est pas contre indiqué de prendre l’avion mais il faut demander l’assistance. Elle me dit que s’il y a un souci avec la compagnie elle pourra me présenter l’assistante sociale de la clinique qui a déjà fait ce type de démarche pour l’Afrique.

    1. D’accord. Vous pouvez essayer aussi de voir avec l’assurance rapatriement s’il y en a une. Ils peuvent peut être trouver une assistance aussi.

      1. Oui merci mais une fois sortie de l’hospitalisation le rapatriement sanitaire n’est plus valable.
        J’ai aussi un autre souci , mon beau père me dit que son côté gauche (langue et bouche) tire énormément vers la gauche et ça le fait mal et a des difficultés pour s’exprimer quand ça le fait.
        J’ai demandé à notre neurologue et notre kiné qui nous disent que ce n’est pas inquiétant et que c’est normal même positif ?!! Vous avez déjà eu ce type de comportement ?
        Merci

        1. Non, je n’ai pas eu ce genre de symptôme. Je n’avais pas été paralysée, et le seul pbme au visage que j’avais c’était d’avoir une barre noire dans la vue quand je le vais les yeux au ciel. Là encore je ne sais que vous dire. Si ce n’est qu’il faut qu’il prenne sont mal en patience. Tout ne reviens pas comme avant en quelques jours malheureusement, et parfois certains symptômes persistent. Mais si les professionnels de santé sont confiants, il faut les écouter. Et garder le moral, même si c’est difficile parfois. La douleur peut être synonyme de sang qui recommence à circuler? (mon hypothèse, faudrait demander au médecin sa théorie).
          Les assurances ont vraiment toujours une bonne excuse pour ne pas prendre en charge….

  5. Oui il faut positiver vous avez raison mais c’est tellement difficile car on ne connait pas vraiment les vraies séquelles liées a cet accident que des fois on se demande ce que c’est
    Je vous remercie encore

    1. Je vous en prie. Cet article est fait pour ça.
      Pour ma part, les séquelles que je garde (si on peut appeler ça ainsi), c’est une petite faiblesse du côté gauche, que je ressent uniquement lors d’efforts physiques) et un manque de sensibilité au bout du pied. Mais ça ne m’empêche pas de faire du sport, de randonner ou autre (et j’ai quand même mal quand mes orteils rencontrent une porte…).
      Je sais que d’autres personnes se sont réveillées sans reconnaitre leur famille, ont dû réapprendre à parler, à manger, tenir une fourchette, mais avec du temps et de la patience, ont réussit à retrouver globalement une vie normale. Il y a aura forcément un avant et un après, mais il faut se laisser le temps, quelques mois au moins, avant de savoir réellement ce qui pourra ou non être récupéré. Tout dépend du type d’AVC subit et du temps de prise en charge.
      Je vous souhaite en tout cas du courage et bonne chance pour la suite.
      Ah et aussi, si vous en ressentez le besoin, n’hésitez pas à vous faire aider psychologiquement. Ce n’est pas une faiblesse, et moi ça m’a permis de me remettre et de me décider à faire un tour du monde….

  6. Bsr
    Je trouve votre explication et commentaire vraiment intéressant.

    Voilà. J’ai fais un avc ischémique le 20 novembre 2020 pendant mon séjour gen métropole et je n’ai pas gardé de séquelles. Juste quelques petites douleurs de tant à autres. Jmon départ vers la Réunion est prévu le 1er février. J’ai vu lge neurologue il me dis que lui il ne conseille à personne de prendre l’avion quand on a fait un avc mais les gens qui ont fais unavc pendant un Séjour quelque part sont rapatrié sans qu’il se pose des question. En faite il ne se positionne pas sur la question. Qu’en pensez vous ?

    1. Bonjour,
      alors comme je le dis à la fin de l’article, je ne suis pas médecin, donc je ne peux me substituer à l’avis de votre neurologue. Toutefois effectivement, vous ne pouvez je pense rester indéfiniment en France si ce n’est pas votre lieu de résidence. En ce cas je vous conseillerai de vous tourner vers votre assurance pour voir si une assistance médicale peut être prise en charge pour votre retour à la réunion. Essayez peut être aussi de demander un 2e avis ?
      Je ne peux malheureusement pas vous en dire plus.

  7. Bonjour. Je suis comme vous Martine. J’ai fait un AVC fin nov 2020 et je n’ai pratiquement plus aucunes séquelles physiques. J’ai eu énormément de chance car je suis allée aux urgences que 3 jours après. Je ne savais pas que je faisais un AVC. J’ai 49 ans hygiène de vie normal beaucoup de sport bref ça ne pouvait pas m arriver et bien si !!. Depuis j’ai beaucoup de mal à remonter la pente. Les séquelles pour moi sont surtout psychologiques. La peur d en refaire un autre est bien présente surtout quand on ne sait pas pourquoi on a fait cet AVC. Et oui il faut se faire aider ce que je fais. Les voyages me manquent mais c’est vrai que je me pose pas mal de questions pour y retourner. La RD et la Thaïlande sont des voyages que j affectionnent particulièrement et je n’ai qu une envie y retourner dès que l on pourra. J ai bien lu toutes vos recommandations que j appliquerai et je pense qu une fois que j y serai retourné mes peurs seront moins lourdes. Prenez bien soin de vous.

    1. Merci de votre témoignage. Pour moi aussi, la peur d’en refaire un était très présente au début. J’ai mis des semaines avant de pouvoir rentrer chez moi (je vis seule). Heureusement ma mère était là. Mais j’ai fait plusieurs demi-tours en voiture avant de pouvoir rentrer définitivement. S’en est suivi des insomnies. Mais comme m’a dit un jour mon médecin à l’époque :  » dans votre cas, vous avez autant de chance de refaire un AVC que de gagner deux fois le gros lot au loto ». Si seulement je pouvais gagner le gros lot au moins une fois…
      Bon courage à vous. Et vous aussi prenez soins de vous!

  8. Si ce n’est pas trop indiscret vous a t on dit quel était l origine de votre AVC ?

    Car à part prendre des médicaments de base pour la tension le cholestérol et le fluidifiant pour le sang c est tout. D ailleurs un des médocs ne plaît pas à mon foie.

    Vivement que tout ça soit derrière moi et j y travaille et vive les voyages !!

    1. Non, j’ai fait beaucoup d’analyses, d’échographies etc, mais j’ai fait partie des 30 à 40% de gens de mon âge (j’avais 28 ans à l’époque) qui font un AVC sans raison apparente. Probablement une accumulation de multiples petites choses. Mais pas vraiment de raison. C’était vraiment « un accident ».

  9. Hello, je ne sais près si je peux aider, mais j’ai 28 ans, et j’ai été victime d’un AVC hémorragique il y a peu plus de trois ans maintenant. Je reviens aujourd’hui d’un voyage au Mexique de 17 jours, avec des vols de 10h en moyenne. Tout s’est passée correctement mais si c’était à refaire, je prendrais plus de précautions (assurances, médicaments, etc…)

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